Ressources pour élèves en quête d'outils pour prendre leur envol...

31/05/2011

Rappel - 1ES1

Bonsoir à tous,

Comme promis, j'ai fait le point avec votre professeur de mathématiques à propos de la matinée de demain, mercredi 1er juin. Le cours de maths aura lieu de 8h à 9h puis, comme prévu ce jour, je vous donne rdv à 9h en salle 315 pour une heure supplémentaire lors de laquelle nous poursuivrons notre étude d'Esope.

Le cours de 11h à 12h est évidemment maintenu. J'ose croire que nous aurons le temps de travailler le poème de Desnos au programme de votre séquence 2. A cette occasion, il serait souhaitable que vous disposiez du texte.
Belle soirée studieuse (et non pas devant Dr House ou X Factor... !)

A demain pour de nouvelles aventures FABuLEuSes !

30/05/2011

Esquisses de Nicolas Lavreince (1737-1807)

« Premières pensées. En italien, "macchia". Ce sont de légères esquisses dans lesquelles les peintres se livrent à tout le jeu de leur imagination et se contentent de quelques coups de crayon ou de plume pour marquer leurs intentions, l'ordre et le caractère qu'ils veulent donner à leur dessein. Ces esquisses, lorsqu'elles sont de quelques Maitres, deviennent précieuses aux yeux d'un connaisseur , parce qu'elles contiennent ordinairement une franchise, une liberté, un feu, une hardiesse, des touches fortes et spirituelles, enfin un certain caractère qu'on ne trouve point dans des dessins plus fins. »

M.Lacombe dans son Dictionnaire portatif des Beaux-Arts, Paris, 1759.

Madame de Merteuil seduicing Cecile Volanges

Valmont and Emilie

 
Valmont seduicing Madame de Tourvel
 Illustrations des Liaisons dangereuses par Nicolas Lavreince

Les révélations du Billet doux

Présentation de Jean-Honoré Fragonard
Avec Boucher et Chardin, qui furent ses maîtres, JHF (1732-1806) est l’un des artistes les plus représentatifs de la peinture française du XVIIIe siècle.
Son nom est le plus souvent associé à la peinture galante et libertine, du fait de la célébrité de toiles telles que Le Verrou que vous connaissez bien (servant d’illustration à nombre d’éditions des Liaisons dangereuses), Les Hasards heureux de l’escarpolette, L’instant désiré ou encore La Gimblette.
Son oeuvre abondante est cependant plus diversifiée : peinture d’histoire durant sa jeunesse, paysages influencés par les peintres hollandais et par ses deux voyages en Italie où il se lie avec Hubert Robert, le peintre des ruines, tableaux religieux, décorations murales, portraits...

Quelle que soit cette variété, c’est surtout l’élégante gaieté avec laquelle Fragonard peint la séduction et la volupté qui a fait sa réputation au XVIIIe comme a posteriori.

    
Le Verrou

Le Baiser à la dérobée

Les Hasards heureux de l’escarpolette

L’Instant désiré

Jeune fille faisant danser son chien sur son lit dit à tort La Gimblette

Le tableau
Le Billet doux est aussi connu sous le titre La Lettre d’amour. Il s’agit d’une huile peinte sur toile, de dimension moyenne (83 x 67 cm), datant approximativement de 1778.
La jeune fille qui y est représentée serait la fille du peintre Boucher, Marie-Emilie, et on reconnaîtrait le nom de son fiancé sur le billet joint au bouquet de fleurs.
Le tableau se trouve au Metropolitan Museum of Art, à New-York.






La lettre : un motif pictural traditionnel
A l’instar du livre, la lettre est un motif privilégié dans la peinture depuis le XVIIe siècle en relation avec le développement de la communication épistolaire et l’apparition des premiers services postaux. Aux Pays-Bas, pays prospère où les habitants sont mieux alphabétisés que dans les autres pays européens, les peintres exploitent souvent la représentation de la lettre dans leurs scènes d’intérieur (voir La Lettre d’amour, Vermeer, vers 1669).
Pour Vermeer comme pour Chardin ou Fragonard, la représentation de la lettre est un moyen de théâtraliser la peinture et de piquer la curiosité du spectateur en jouant à la fois sur le secret et le dévoilement : la lettre mêle en effet le mystère et la banalité, l’intime et le public.


Composition du tableau : jeux de lumière et de symétrie
- comme dans les scène de genre hollandaises, la lumière vient de la fenêtre ronde à gauche, éclaire le visage, la nuque et la main de la jeune fille, ainsi que le petit chien blanc.
- d’autres taches lumineuses sont apportées par la blancheur de l’animal, celle du papier qui entoure le bouquet, du “billet doux” - ou par les reflets satinés de la robe
- les couleurs froides (le vert du sous-main et du siège, le bleuté de la robe) contrastent avec les couleurs chaudes des tentures et des pieds du mobilier.
Des effets de symétrie ou de correspondance s’établissent entre divers éléments :
- les fleurs roses et blanches s’harmonisent délicatement aux teintes du visage et de la coiffe du personnage
- la dentelle qui orne la manchette de la robe rappelle l’oreille bouclée du petit chien blanc
- les plis de la robe, sous la table, se confondent avec ceux du rideau.


En quoi est-ce une peinture galante ?

Plis des étoffes et tensions du corps
Comme dans la plupart de ses tableaux galants, Fragonard a particulièrement soigné le plissé et les reflets des étoffes qui donnent au tableau un mouvement sensuel comparable à celui du corps féminin. “Ce n’est rien d’autre que de la peinture, du drapé, et l’on sait bien que le drapé est le comble de la peinture” écrit Daniel Arasse à propos du drapé en désordre dans Le Verrou.

La robe bleue en satin, aux moirures chatoyantes, ressemble à celle du Baiser dérobé. Les tentures ocres, au premier et à l’arrière-plan, ainsi que le rideau blanc à la fenêtre, encadrent le personnage comme dans un écrin et contribuent à créer une atmosphère d’intimité.

Penchée vers la table, la jeune fille semble à peine assise sur le bord de son siège, donnant ainsi l’image d’un corps en suspens : va-t-elle se lever ou s’asseoir, veut-elle ainsi cacher le billet glissé dans le bouquet ? Sa posture, équivoque, contraste avec l’attitude du petit chien blanc qui batifole avec sa maîtresse dans La Gimblette ou qui piaffe d’excitation dans L’Escarpolette, l’animal est ici chargé d’une connotation érotique. On peut également se poser la question de la représentation symbolique de la fidélité à travers sa présence.


La saisie d’un instant équivoque
En peignant les plaisirs de la séduction, Fragonard cherche aussi à saisir des scènes furtives, des instants de trouble ou d’hésitation, des attentes. Apparemment anodin, Le Billet doux ne manque pas d’ambiguïtés qui en appellent à la curiosité complice du spectateur : la lettre est-elle glissée ou retirée du bouquet ? La demoiselle est-elle la destinataire ou l’expéditrice de ces gages d’amour ? Ou encore, une “espionne” qui “intercepte” ce qui ne lui est pas destiné ? Cherche-t-elle à masquer ou à montrer son geste ? Vers qui tourne-t-elle son regard et son sourire malicieux, redoublé par les yeux fixes du chien ?


Le spectateur voyeur
Ce sont autant le peintre que le spectateur du tableau qui se trouvent ainsi lorgnés par la rousse mutine et son animal. Le jeu des regards souligne la mise en scène iironique et nous transforme en voyeurs d’un geste surpris à la dérobée. Le sourire ambigu de la jeune fille, contrastant avec le regard plus malveillant du chien, renforce la dimension galante du tableau.

Laclos, Les Liaisons dangereuses et le type romanesque du libertin

Levons le mystère sur le paratexte des Liaisons dangereuses

La notion de “paratexte” (formé à partir du grec para signifiant à côté de) renvoie aux différentes informations données dans un ouvrage pour faciliter la compréhension du texte :
- nom et présentation de l’auteur
- titre
- date de publication
- présentation de l’oeuvre en quatrième de couverture
- contexte historique
- notes de bas de page
- préface ou postface, etc.
Le plus souvent, ces indications sont rédigées par un commentateur spécialiste de l’oeuvre proposée. Toutefois, l’auteur lui-même peut présenter son ouvrage en s’adressant directement à ses lecteurs dans une préface, un préambule ou un avertissement comme c’est le cas pour Les Liaisons dangereuses -on parle alors de paratexte auctorial.



Traditionnellement, le roman épistolaire du XVIIIe siècle cherchait à donner l’illusion de l’authenticité en se faisant passer pour une correspondance réelle, trouvée dans un tiroir ou recueillie par un tiers qui en aurait ensuite assuré la publication. Pour accréditer ce jeu qui ne trompait cependant guère de lecteurs, la plupart des romans épistolaires étaient accompagnés d’une préface où l’auteur prétendait n’être que l’éditeur ou le dépositaire du recueil de lettres. L’auteur des Liaisons dangeureuses ne déroge pas à cette tradition mais en exhibe ironiquement la facticité dans ces deux textes liminaires qui se contredisent mutuellement.



Citations à retenir :
- Le titre :
Les Liaisons dangereuses ou Lettres recueillies dans une société et publiées pour l’instruction de quelques autres”
Une épigraphe de Rousseau : “J’ai vu les moeurs de mon temps et j’ai publié ces lettres”, préface de La Nouvelle Héloïse



- Dans l’Avertissement de l’Editeur :
“(...) nous ne garantissons pas l’authenticité de ce Recueil et nous avons même de fortes raisons de penser que ce n’est qu’un Roman.”
“plusieurs des personnages qu’il (l’Auteur) met en scène ont de si mauvaises moeurs qu’il est impossible de supposer qu’ils aient vécu dans notre siècle, dans ce siècle où (...) les lumières (...) ont rendu, comme chacun sait, tous les hommes si honnêtes et toutes les femmes si modestes et si réservées.”



- Dans la Préface du Rédacteur :
“Cet ouvrage, ou plutôt ce Recueil (...) ne contient que le plus petit nombre des Lettres qui composaient la totalité de la correspondance dont il est extrait.”
“Chargé de la mettre en ordre par les personnes à qui elle était parvenue (...) j’ai presque toujours suivi [l’ordre] des dates”
“Je dois prévenir aussi que j’ai supprimé ou changé tous les noms des personnes dont il est question dans ces Lettres (...)”
“Le mérite d’un Ouvrage se compose de son utilité ou de son agrément, et même de tous deux (...)” (INSTRUIRE et PLAIRE !)
“Un qualité (...) : c’est la variété des styles ; mérite qu’un Auteur atteint difficilement (...)”
“Il me semble que c’est rendre un service aux moeurs, que de dévoiler les moyens qu’emploient ceux qui en ont de mauvaises moeurs pour corrompre ceux qui en ont de bonnes (...)”




Pour info, extrait de la Préface de la Nouvelle Héloïse, le plus grand roman épistolaire de l’époque :
Il faut des spectacles dans les grandes villes, et des Romans aux peuples corrompus. J’ai vu les moeurs de mon temps, et j’ai publié ces lettres. Que n’ai-je vécu dans un siècle où je dusse les jeter au feu !
Quoique je ne porte ici que le titre d’Editeur, j’ai travaillé moi-même à ce livre, et je ne m’en cache pas. Ai-je fait le tout, et la correspondance entière est-elle une fiction ? Gens du monde, que vous importe ? C’est sûrement une fiction pour vous.

25/05/2011

We ♥ Rimbaud !

Pour développer votre maîtrise de la séquence 2, voici le lien vous permettant d'accéder au très beau site consacré à RIMBAUD.


Ces pages ont été réalisées par une ville qui vous est chère, Charleville-Mézières... à l'occasion du 150ème anniversaire de la naissance du poète.

Exercice 1S1 pour vendredi 27/05

Vous êtes, le temps de ce jeu de rôle Marquise de ........................... (complétez, mesdemoiselles, par votre nom de famille) / Vicomte de ..........................(complétez, messieurs, par votre nom de famille), aristocrate libertin(e) reconnu(e) dans la société du XVIIIe siècle.
A la lumière de vos connaissances du libertinage au XVIIIe et des Liaisons dangereuses, définissez quels seraient, selon vous, les 4 principes élémentaires ou règles du jeu libertin de la séduction. Pour chacune de ces règles, composez quelques lignes explicatives.
Règle n°1 : .....................
.............................................................................................
.............................................................................................
Règle n°2 : .....................
.............................................................................................
.............................................................................................
Règle n°3 : .....................
.............................................................................................
.............................................................................................
Règle n°4 : .....................
.............................................................................................
.............................................................................................

Vous prendrez bien un petit rafraîchissement !



Vous trouverez en cliquant une présentation du roman.
En allant voir par ici, vous pourrez lire une analyse du titre.

A lire en prenant des notes tant ces documents sont riches de renseignements et de pistes de réflexion !


23/05/2011

Aux élèves de 1S1

Le cours de demain (mardi 24) est annulé. Je n'ai pas la possibilité de vous laisser en autonomie pour des questions évidentes de responsabilité. La séance de visionnage est reportée au mardi 31 ; j'ajoute qu'elle aura lieu dans de meilleures conditions. Un peu de patience...

à mercredi, rdv directement en salle polyvalente pour la présentation des classes préparatoires dès 10h.

18/05/2011

A destination des 213 et des autres : les figures de style - rappel


Cette carte que vous pouvez imprimer et conserver comme mémo dans votre classeur vous permettra d'améliorer le repérage des procédés utilisés dans les textes.

Petit conseil : n'oubliez pas de faire correspondre quelques exemples pour chacune afin d'en saisir le sens ; vous éviterez ainsi tout désagrément le jour du contrôle, notamment !

11/05/2011

Fiche écrit - Méthode de la dissertation

METHODE DE LA DISSERTATION 
La dissertation est un travail d’argumentation qui développe une réflexion organisée et personnelle à partir des problématiques littéraires issues des objets d’étude du programme.
Cet exercice obéit à des règles précises et convient aux élèves qui apprécient de respecter des normes. Pour le réussir, il faut suivre une démarche rigoureuse.

ANALYSE DU SUJET
- identifier le thème du sujet le plus précisément possible (sur quoi faut-il réfléchir ? réponse sous forme d’un groupe nominal.
- Repérer les mots-clés du sujet : s’efforcer de les comprendre (synonymes), noter leurs différents sens possibles.
- Chercher s’il y a une thèse (= opinion sur le thème) : si oui, reformulez-la ; elle sera forcément argumentée en I.
- Formuler la problématique : c’est la question à laquelle la dissertation doit apporter des réponses ; elle est souvent incluse dans le libellé du sujet, mais pas toujours.
- Considérer la formulation de la question posée dans le sujet : elle peut correspondre à la problématique ou non ; il faut distinguer les questions avec réponses oui/non, des autres, car le type de la question induit le choix du plan.
- Formuler les idées directrices (2 ou 3) qui découlent de l’analyse précédente : c’est ce qu’il faudra argumenter dans chacune des parties du devoir (I, II…)

LES DIFFERENTS TYPES DE PLANS
- le plan thématique : pour les questions qui incitent à faire une liste de réponses : ex : « quels intérêts présente le recours à l’argumentation indirecte ? »
- le plan explicatif (ou analytique) : pour les questions poussant à expliquer quelque chose , du type : « Pourquoi, comment… ». Ex : « Pour quelles raisons un auteur peut-il choisir d’avoir recours à l’argumentation indirecte ? »

- le plan critique : 2 possibilités
 pour les sujets commençant pas « Dans quelle mesure… ? » mêle explication et critique : I. explication II. critique

ou I. 1. explication 2. réserves II. 1. explication 2. désaccord
Ex : « dans quelle mesure la littérature argumentative peut-elle améliorer la société ? »
 présente une discussion, dans les sujets avec question oui/non : : I. pas d’accord II. d’accord
Ex : « Est-ce le rôle des écrivains de défendre leurs idées dans leurs œuvres ? »
- le plan comparatif : compare deux aspects, deux opinions, deux thèmes ; 2 possibilités :
I. 1er élément II. 2ème élément III. comparaison ou I. Ressemblances II. différences III. Complémentarité
Ex : « L’essai vous semble-t-il plus ou moins efficace que les apologues pour défendre une opinion ? »
- le plan dialectique : pour les sujets avec question oui/non
I. Thèse II. antithèse III. synthèse = dépassement de la contradiction par un paradoxe

Ex : « les fables sont-elles des textes réservés aux enfants ? »
I. Leur apparence puérile les rend compréhensibles par les enfants
II. Mais les adultes peuvent aussi en tire profit, car les subtilités de la fable échappent aux enfants
III. C’est parce qu’elles ont l’air enfantines qu’elles plaisent aux adultes

LE DEVELOPPEMENT
- le devoir se développe en 2 ou 3 parties, elles-mêmes subdivisées en sous-parties ( 2 ou 3 §), l'idéal étant 3 parties composées chacune de 3 sous-parties
- chaque partie commence par l’idée directrice = réponse à la problématique qui va être démontrée ensuite
- la sous-partie argumentative se compose :
 d’un argument développé : on le trouve grâce au travail préalable effectué sur les mots-clés (exploiter les divers sens de ces mots),et par sa réflexion personnelle ; on s’oblige à l’expliciter davantage en se posant les questions « pourquoi, comment ? »
 d’un exemple précis, qui sera pris dans les textes du corpus, ceux étudiés en classe ou ceux issus de sa culture personnelle. Il doit être présenté (titre, auteur), décrit (de quoi s’agit-il ?), relié à l’argument ou à l’idée directrice (que prouve-t-il ?).
- chaque partie se termine par une conclusion partielle (= conclusion de la partie)
- la phrase de transition permet de passer d’une partie à l’autre : elle se compose de la conclusion partielle, suivie de l’annonce de la perspective suivante (sous forme interrogative si possible)

SITUER SON OPINION DANS LE DEVOIR
Il n’y a pas de lieu précis où situer son opinion personnelle : celle-ci s’exprime tout au long du devoir, dans un raisonnement qui procède par adhésion ou réfutation des idées directrices déduites de l’analyse du sujet. Les modalisateurs nuanceront ce positionnement.
Ex : dans un plan type discussion (plan critique) :
I. certains affirment que …(idée directrice n°1) II. Pourtant, on peut être plutôt d’avis à penser que …(idée directrice n°2)
ou I .D’un côté, on peut penser que …II. Mais par ailleurs, on peut être plus convaincu par...

CONSIGNES DE REDACTION (pour la mise en page voir schéma dans l'article "Eléments de correction - commentaire lettre 2")
- L’INTRODUCTION :
 idée de départ (constat, vérité générale sur le thème…)
 présentation du sujet : reproduire la thèse s’il y en a une (dans la citation par exemple)
 présenter la problématique, sous forme d’une question ou d’une hypothèse (on peut se demander si…)
 annoncer, dans l’ordre, les idées directrices du plan (affirmations ou questions, ou les deux ; éviter « dans ma 1ère partie… »)
- LA CONCLUSION GENERALE
 mettre un lien logique de conclusion (« Finalement, en définitive, en somme, en conséquence, en fin de compte… »)
 récapituler les temps forts du développement (bilan)
 apporter une réponse claire à la problématique, donner votre avis personnel
 élargir la réflexion (élargissement) : lancer un autre débat sur le même thème, élargir le même débat à un autre thème…